Dans l'Antiquité et le Moyen Age n'a pas été considéré comme un problème de volonté de la caractéristique de la position de la compréhension moderne de celui-ci. Les anciens philosophes considéré comme un comportement délibéré ou conscient seulement en termes de sa conformité aux normes généralement achat cialis par cheque reconnues. Dans le monde antique Le viagra 100 principalement reconnue sage idéal, si les philosophes antiques ont cru que les règles du comportement humain doit répondre à des principes raisonnables de la nature et de la vie, les règles de la logique. Ainsi, selon Aristote, la nature de la volonté exprimée dans la formation de conclusion logique. Par exemple, dans ses Éthique à Nicomaque l'envoi de sucré à manger, et l'état des pommes douces n'entraînent pas de prescription doivent manger cette pomme, à savoir juger de la nécessité d'une action - pomme entamée. Par conséquent, la source de nos actions conscientes réside dans l'esprit.
Il convient de noter que vue similaire de la nature est justifiée et continuera donc d'exister aujourd'hui. Par exemple, contre la volonté de la nature particulière de la croyance que la notion de finalité et la conscience sont les catégories de comportement intelligent, et il n'est pas nécessaire d'introduire de nouveaux termes, à son avis, n'est pas ici. Un tel point de vue en se basant sur le fait que les processus mentaux font partie intégrante des actions volontaires.
En fait, le problème ne sera pas exister en tant que question distincte au Moyen Age. L'homme considéré par les philosophes médiévaux comme principe extrêmement passive, comme un domaine dans lequel il ya des forces extérieures. De plus, très souvent, au Moyen Age se autorisant l'existence indépendante et même personnifié dans la résistance du béton, devenant des créatures bonnes ou mauvaises. Cependant, cette interprétation a agi en tant que manifestation d'une sorte d'intelligence qui met lui-même des objectifs spécifiques. La connaissance de ces forces - bon ou mauvais, selon les philosophes médiévaux, ouvre la voie à la connaissance des causes véritables des actions de l'individu.
Par conséquent, le concept de volonté à l'époque médiévale plus associée à une puissance supérieure. Cette compréhension au Moyen Age était dû au fait que la société se voit refuser la possibilité de l'auto, qui est indépendante des traditions et de l'ordre établi, le comportement des membres de la société. L'homme considéré comme le plus simple élément de la société, et un ensemble de caractéristiques que les scientifiques modernes signifient par la personnalité, a agi comme un programme dans lequel les ancêtres ont vécu et où l'homme doit vivre. Le droit de déroger à ces normes ne reconnaissait que quelques membres de la communauté, par exemple, un forgeron - une personne qui est la puissance de feu et l'objet métallique, ou voleur - un criminel humain, lui-même opposé à cette société, etc
Il est probable que le problème va de soi vu le jour en même temps que la formulation du problème de l'individu. Il est arrivé à la Renaissance, quand l'homme a commencé à reconnaître le droit à la créativité et même de faire des erreurs. Était généralement d'avis que seul un départ de la norme, de se démarquer de la masse des gens, une personne pilule priligy pourrait Le viagra 100 devenir une personne. Dans ce cas, la principale valeur de l'individu était considéré comme libre arbitre.
En termes de faits historiques, il convient de noter que l'émergence du problème du libre arbitre n'était pas accidentel. Les premiers chrétiens est venue du fait que l'homme a le libre arbitre, c'est à dire qu'il peut agir en accord avec sa conscience, de faire des choix sur la façon de vivre, d'agir, et comment suivre les règles. À l'ère du libre arbitre de la Renaissance en général est devenue élevée à l'absolu.
Plus tard volonté absolutisation libre a conduit à l'émergence de la philosophie existentialiste - la philosophie de l'existence. L'existentialisme considère la liberté comme volonté totalement cialis livraison 48 heures gratuit. pas due à des circonstances extérieures sociaux. Le point de départ de ce concept - vzyatsch personne abstraite de liens et rapports sociaux, indépendamment du contexte socio-culturel. L'homme, selon les représentants de cette direction, rien ne peut être associé à la société, et plus il ne peut pas être lié par les obligations morales ou responsabilité. L'homme est libre, et ne serait pas responsable. Toute règle lui apparaît comme une suppression de son libre arbitre. Selon, vraiment humain ne peut nemotiviruemy protestation spontanée contre les normes sociales, et non ordonné, pas lié par les organismes extérieurs, des programmes, fêtes, etc.
